Centre d’Animation de Beaulieu

Dès 3 ans
45 mn

Après Même pas peur du loup qui avait enchanté petits et grands, nous retrouvons Ollivier Leroy et Anne-Laure Bourget pour ce nouveau ciné-concert. Les fantômes, qui ont hanté les premiers pas du cinéma, seront mis à l’honneur dans un programme unique de courts-métrages d’animation de Grande-Bretagne, de Lettonie et des Etats-Unis. Avec une palette sonore audacieuse mêlant l’acoustique à l’électronique, le bruitisme au mélodique, le duo développera un univers musical novateur pour laisser transparaître toute la modernité de ces films.

Infos et réservations : Centre d'Animation de Beaulieu 10 boulevard Savari- Poitiers. 05.49.44.80.40 lespetitsdevantlesgrandsderriere.fr

One dessine le poème visuel de la fragile beauté du monde et du jeu dangereux de l’homme avec la planète.
Deux comédiennes jouent avec une planète bleue, elles la font tourner sur elle-même et choisissent des endroits d’exploration où l’arrêter : l’océan, la banquise et la forêt. Mais le jeu va s’amplifier, elles se mettent à jouer avec la planète comme avec un ballon, se permettant toujours plus de libertés et perdent peu à peu le sens de la mesure, jusqu’à mettre en péril l’harmonie du monde. La terre tourne trop vite, elle chauffe, fume, brûle, se consume…
Entre vidéos, théâtre d’objets et de marionnettes, One propose de tisser un lien entre la fragilité du monde et la fragilité d’un spectacle. Quand tout semble perdu, quand la magie fait place à la désillusion, pouvons-nous revenir en arrière ?

Un danseur, deux danseurs, quatre danseurs. Des chants du froid glacial aux voix du désert, des rythmes du Brésil aux poèmes japonais, en passant par des paysages et des îles méconnues, ils nous font parcourir les continents. Loin des clichés, ils invitent à l'émerveillement devant de petites choses, à la rencontre de l'autre et de trésors venus d'ailleurs.
À contre-courant des images catastrophiques que l'on nous renvoie sans cesse, ce spectacle nous propose une trêve poétique pour oser voir le monde autrement.
Pour les plus grands, à partir de 15 ans, découvrez un autre spectacle de Thomas Lebrun Les rois de la piste le jeudi 28 mars à 20h30 au Centre de Beaulieu, dans le cadre de la saison Beaulieu danse.
Chorégraphie : Thomas Lebrun

Interprétation : Maxime Aubert, Anthony Cazaux, Lucie Gemon, Léa Scher

Musiques du monde : en cours

Création lumière : Jean-Philippe Filleul

Création bande son : en cours

Création son : Mélodie Souquet

Costumes : Thomas Lebrun et Kite Vollard

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Centre chorégraphique national de Tours

Chorégraphie Thomas Lebrun

Interprétation Julie Bougard, Thomas Lebrun, Matthieu Patarozzi, Veronique Teindas, Yohann Têté

Musiques Shlomi Aber, C+C Music Factory, Cher, Corona, Gloria Gaynor, Grauzone, Miss Fitz, Snap!, Technotronic

Création lumière Jean-Philippe Filleul

Création son Maxime Fabre

Montage son Maxime Fabre, Yohann Têté

Costumes Thomas Lebrun

Réalisation costumes Kite Vollard

Construction du décor Ateliers de la MCB° Maison de la Culture de Bourges/Scène nationale



Tout démarre de la funk. Et de ce pas de danse qui faisait chalouper les postérieurs et les avant-bras de tous ceux qui monopolisaient les pistes de danses des discothèques ! Bref, un pas de danse universel ! À chacun sa singularité du funk ! La boîte de nuit, le dancing, ou encore la boum proposent des espaces à géométrie variable, éclairés ou tamisés, au sein desquels un autre espace, dévoile les corps et ses différentes expositions. Les rois de la piste proposent, entre autres, une multitude de focus sur les habitants ou les passagers de ces espaces limités que sont les pistes de danse. Cette pièce traverse différents courants de la danse, de la musique et de la mode liés à ces lieux depuis les années 70. La danse et la mode ont toujours joué un rôle clé dans le processus de séduction, mais nous ne sommes pas tous égaux sur le dancefloor ! Il y aura des pacotilles, des chemises ouvertes, des chaînes en or qui brillent...

Durée 1h

Dès 15 ans

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Compagnie Julie Dossavi

Chorégraphe Julie Dossavi

Interprète Julie Dossavi

Compositeur musical Yvan Talbot

Metteur en scène Marielle Pinsard

Vidéo en cours de distribution

Régisseur son et lumière Benjamin Olivier

Costume Julie Dossavi

Dans ce solo la chorégraphe Julie Dossavi interroge le rôle des femmes de 50 à 80 ans dans la société actuelle. Elle invente, propose des modèles inspirés par ses rencontres, et incarne des portraits de femmes modernes, étonnantes, exubérantes, touchantes, drôles, battantes, passionnées et libres. Des femmes qui ne veulent pas renoncer et osent aller jusqu’au bout de leurs désirs. « Dans Mama Tekno, chaque modèle de femme a sa gestuelle, son propre univers où se mélangent la danse, la musique, l’extase et l’acceptation » Julie Dossavi. Mama Tekno évolue dans plusieurs styles musicaux : musique électronique, en passant par le rock, les sons basses des rythmes africains, le chant et même le silence. Mama Tekno et Yvan Talbot, le compositeur de la pièce, créent une musique pacifique où la tolérance, l’acceptation, l’hédonisme, l’extase, l’énergie et bien évidemment la danse ont leur importance.

Durée 1h

Dès 12 ans

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Compagnie : Adrien M & Claire B

Conception, direction artistique, scénographie et mise en scène : Claire Bardainne et Adrien Mondot

Conception informatique : Adrien Mondot

Danse : Virginie Barjonet

Interprétation numérique : Jérémy Chartier

Création sonore : Christophe Sartori, Loïs Drouglazet

Interprétation sonore : Clément Aubry, Christophe Sartori, Pierre Xucla en alternance

Design-construction : Martin Gautron, Vincent Perreux

Dispositifs informatiques : Loïs Drouglazet

Création lumière : Jérémy Chartier

Regard extérieur : Charlotte Farcet

Costume : Johanna Elalouf

Direction technique : Alexis Bergeron

Administration : Marek Vuiton

Production et diffusion : Joanna Rieussec

Production : Margaux Fritsch, Delphine Teypaz

Production Adrien M & Claire B

Coproductions Les Subsistances, Lyon Centre Pompidou-Metz Accompagnement à la production et résidence de création Ferme du Buisson, scène nationale de Marne-la-Vallée Région Rhône-Alpes Fonds [SCAN]

Atelier Arts-Sciences, Grenoble Les Champs Libres, Rennes Centre des Arts, Enghien-les-Bains Co-financé dans le cadre du programme « Lille, Ville d’Arts du Futur » visant à développer les expérimentations mêlant arts et innovations technologiques »

Accueil en résidence Centre de création et de production de la Maison de la Culture de Nevers et de la Nièvre (MCNN)

Micro Mondes, Lyon

Aide

Ministère de la Culture et de la Communication DICRéAM

La compagnie Adrien M & Claire B est conventionnée par la DRAC Auvergne-Rhône-Alpes, par la Région Auvergne-Rhône-Alpes et soutenue par la Ville de Lyon.



Hakanaï est une performance chorégraphique pour une danseuse évoluant dans un cube d’images mises en mouvement en temps réel par un interprète numérique. Un cube de tulle blanc constitue l’espace de cette performance. Un dispositif de quatre vidéos synchronisées projette sur les tulles un univers graphique en constante évolution, généré en temps réel et interprété par un artiste à la manière d’une «partition numérique». Le corps d’une danseuse entre ainsi en dialogue avec ces images en mouvement, formes simples et abstraites en noir et blanc. La création sonore est également réalisée en direct, créant ainsi une synesthésie complète son-image-danse.

Durée 40 mn

dès 10 ans

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Compagnie La Vouivre

Mise en scène Bérengère Fournier, Samuel Faccioli

Danseurs Bérengère Fournier, Samuel Faccioli, Joachim Maudet

Musique live Gabriel Fabing

Création lumière Gilles de Metz

Création vidéo Florian Martin

Costumes Nathalie Martella

Dans son lit, la Belle repose en paix. Il y a cent ans qu’elle s’est endormie. A quoi rêve la Belle ? La Belle est endormie, mais au cœur de ses rêves, elle hallucine : elle voit deux princes charmants. Deux princes, comment ça, deux princes ? Sur scène, trois danseurs époustouflants, un musicien et des images vidéo percutantes, permettent aux chorégraphes danseurs, Bérengère Fournier et Samuel Faccioli d’explorer avec brio les thèmes du rêve, du temps et de la quête de soi. Un spectacle élégant et poétique !

« En explorant une partie absente de la version originale du conte de Grimm « La Belle au bois dormant », nous nous amuserons à bouleverser l’ordre des choses établies. Nous convoquerons l’enfance, l’étrange, l’onirisme en restant proche de ce qui caractérise le travail de la compagnie : une esthétique soignée, un ton distancié et une écriture chorégraphique précise et rigoureuse. » La Vouivre.



Durée 50 mn

Dès 7 ans

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Le rideau s'ouvre sur des paysages merveilleux et des forêts enchanteresses. Au coeur de cette nature en métamorphose, une tribu de créatures fantastiques apparaît et disparaît comme par magie dans des costumes hauts en couleurs. Une belle, légère comme un flocon, une bête à fourrure noire, une impératrice des pagodes dans une forêt de lampions, un petit poucet perdu dans un dédale de végétation... Les scènes ludiques et oniriques s'enchaînent. Dans un univers pop empruntant à la BD comme à l’animation, les danseurs se réapproprient les musiques composées par Maurice Ravel à partir de contes.

Dans ce monde rêvé, les différents éléments de la nature évoluent dans un équilibre simple, ténu et poétique.

Mise en scène et chorégraphie : Lionel Hoche Distribution : Céline Debyser ou Flore khoury, Laurianne Madelaine ou Clara Protar, Quentin Baguet Création lumière : Nicolas Prosper Musique : Ma Mère l'Oye, Maurice Ravel Scénographie et costumes : Lionel HocheCréation vidéo : Claudio Cavallari

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Compagnie Contrepoint

Chorégraphie Yan Raballand

Interprétation Evguenia Chtchelkova, Aurélien Le Glaunec et Yan Raballand

Lumières Laurent Matignon et David Debrinay

Musiques Francine Ferrer, Madame Miniature et Max Richter

Costumes Dominique Fabrègue et Robin Chemin

Régie générale Thibaut Garnier



Yan Raballand commence à rêver la musique en mouvement en écoutant l'œuvre de Jean-Sébastien Bach. Fasciné par la richesse de ces compositions, le contrepoint est alors devenu source d'inspiration. Cette notion devient le support d'une recherche permanente de l'alchimie entre la musicalité, l'écriture chorégraphique et la relation aux interprètes. Contrepoint, composée d’un duo et d’un trio, est un voyage qui traverse des univers contrastés de l’unisson à la métamorphose, du noir et blanc à la couleur, du mécanisme à la fluidité. Avec ces métaphores chorégraphiques, Yan Raballand place l’individu au cœur de son travail. Le contrepoint évoque pour lui un horizon d’inspiration : l'exploration d’une humanité intime.

Durée 45mn

Dès 9 ans

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Compagnie BurnOut

Chorégraphie et mise en scène Jann Gallois

Création musicale Alexandre Bouvier et Grégoire Simon

Création lumière Cyril Mulon

Vidéo mapping Alexandre Bouvier

Création costumes Marie-Cécile Viault

Regard complice Frédéric Le Van

Interprétation Maria Fonseca, Jann Gallois, Erik Lobelius, Amaury Réot et Aure Wachter



Programmée l’année dernière avec sa pièce Compact, Jann Gallois avait conquis le public. Elle revient cette année avec sa première pièce de groupe. Issue d'une famille de musiciens ayant reçu une formation dès son plus jeune âge, l’artiste mêle la musicalité du mouvement et celle du son. Celle qui a choisi de bifurquer en devenant une danseuse de hip-hop puis une chorégraphe, présente Quintette, une pièce qui réunit ses passions. Pourquoi les gens s'unissent-ils et se désunissent-ils sans cesse ? Que ce soit au sein d'un couple ou à l'échelle des nations, l'union et la séparation semblent obéir à un cycle sans fin. Ces questions inspirent à jann Gallois une pièce qui relève d'un double défi : composition chorégraphique et musicale. Elle considère que la danse est une musique qui se regarde, un chant du corps visuel et graphique.

Durée 50 mn

Dès 10 ans

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QUOI ? Une fin de journée festive et conviviale qui vous ouvrira les portes du Centre d’Animation de Beaulieu pour vous donner envie de découvrir la saison Beaulieu Danse 18-19 en présence d’artistes !
QUAND ? Mercredi 26 septembre à partir de 17h.
POUR QUI ? Gratuit et ouvert à tous !
PROGRAMME ?
17h TOTEM LIRI - Compagnie CODARIO - Chorégraphe : Marie Rual. Escapade poétique, théâtrale et chorégraphique.
Bambola, une petite ballerine vissée à son mécanisme musical et enfermée dans une boîte est livrée à celui ou celle qui voudra bien la faire tournoyer. Une fois la boîte ouverte, que ferait cette ballerine, si elle dégénérait ? Dans un dérèglement, elle se transforme et trouve délivrance. Un spectacle qui parle de liberté! Dès 5 ans / Durée 40 mn
18h Visite de la salle de spectacle du Centre en présence du régisseur, l’occasion de découvrir l’envers du décor.

19h Présentation des spectacles de la saison en présence d’artistes, illustrée par des extraits vidéo.

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Danse hip-hop et contemporaine

C’est avec une nouvelle forme de virtuosité reposant sur la rotation : rebond, déséquilibre, perte de repères; que le chorégraphe Abderzak Houmi sublime les mouvements de ses quatre danseurs, venus du Hip Hop, de la danse contemporaine et du cirque. Une véritable performance alliant énergie et poésie. Un premier contact avec un objet novateur qui s’apparente à un tapis de 10 mètres sur 6, la surface est surprenante et incertaine. Le tapis qui prend place, transformé en trampoline devient le lieu du contact. Les quatres interprètes de Contact #1 alternent pas et sauts entre un sol dur et un sol mou. Une contrainte technique et artistique qui implique une gestuelle particulière. Abderzak Houmi aime les rencontres improbables et insolites, artiste associé depuis 2013 du théâtre de l'Agora d'Évry, le chorégraphe est en perpétuelle recherche artistique. Sa nouvelle création Contact #1 approfondit encore son propos de la mixité des genres. "On s'est tous apporté des choses différentes. L'acrobate connaît déjà la rotation aérienne, le breaker a cette sensation de rotation au sol et la danseuse contemporaine est habituée au contact avec un sol dur", explique encore le danseur.

Crédit photo : Sébastien Dechatre

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Conte lyrique et visuel par Athénor les productions

Imaïntsoo conjugue trois écritures : poétique, musicale et sonore, visuelle. Le récit du fantastique destin d'Imaïntsoo, petite fille née de la femme oiseau, est tour à tour chanté et récité, au rythme des percussions et des images. Matériaux bruts végétaux et minéraux et instruments de percussions traditionnels composent l’instrumentarium des percussionnistes. Une bande sonore, réalisée à partir d’enregistrements et de captations, permet de retrouver l’espace de la nature, de la forêt, de cette magnifique spatialisation des chants d’oiseaux, des craquements, des pas, de l’eau, du vent... L’histoire donne la place au «dit» et au «chanté», donnant la part belle à la métamorphose de la voix.

Pendant plusieurs années, les artistes de ce spectacle ont régulièrement travaillé en immersion dans les milieux naturels spécifiques de Parcs Naturels Régionaux : la Brière et ses marais d’eau douce, Loire Anjou Touraine, son fleuve et ses bocages, la Brenne, ses marais et ses sous-bois, les Volcans d’Auvergne, ses montagnes et ses pierres, les Landes de Gascogne, ses cours d’eaux et ses forêts.

De ces résidences à l’écoute des oiseaux, des hommes et des paysages, menées en relation avec des naturalistes et des habitants, émerge ce projet de création pour plateau.

Texte : Raharimanana - Composition musicale : Jean-Christophe Feldhandler - Images : Philippe Charles - Direction artistique : Brigitte Lallier-Maisonneuve - Scénographie et lumières : Bernard Poupart - Voix : Sylvie Deguy & Géraldine Keller - Percussions : Jean-Christophe Feldhandler & Philippe Foch

Crédit photo : Laetitia Bourget et Philippe Charles

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Théâtre et marionnettes par la Compagnie trois-six-trente

Anna vit seule avec son père, préoccupé par la recherche d'un travail. La nuit, elle rêve d'un cheval blanc avec qui elle parle et qui la réconforte. Son amie Louise, elle, est visitée par un taureau brutal, qui hante ses cauchemars. Le Cheval et le Taureau se connaissent, ils se sont déjà affrontés ; ce sont de vieux rivaux des rêves.

Anna ne démêle pas toujours bien le rêve de la réalité. Son père l'accompagne dans ses méandres autant qu'il peut. Il est lui-même préoccupé par ses entretiens d'embauche. Pour l'aider, Anna va prendre le taureau par les cornes avec l'aide du cheval.

Le Rêve d’Anna parle de la vie, des angoisses et de la poésie de l’enfance face aux doutes des grands et à leur mal-vivre. La pièce montre que la relation adulte-enfant trouve son équilibre dans la capacité de chacun à se glisser dans le monde de l’autre.

Entre réalité sociale et optimisme, comédiens et marionnettes d’un hyperréalisme frappant se partagent le plateau. Les comédiens en chair et en os font vivre le monde des adultes. Les marionnettes sont les interprètes du monde de l'enfance et du rêve : Anna est quasi-vivante sur scène et le cheval de belle taille semble tout droit sorti d’un haras magique.

Texte : Eddy Pallaro - Mise en scène : Bérangère Vantusso - Interprétation : Anne Dupagne, Guillaume Gilliet, Christophe Hanon, Junie Monnier, Philippe Rodriguez-Jorda - Marionnettes : Conception Marguerite Bordat, Bérangère Vantusso, Einat Landais / Réalisation Marguerite Bordat, Einat Landais, Sébastien Puech, Michel Ozeray, Carole Allemand, Sophie Coeffic, Laurent Huet / Costumes Sara Bartesaghi Gallo / Perruques Nathalie Régior - -Scénographie : Marguerite Bordat - Création lumière : Maryse Gautier - Création sonore : Aline Loustalot - Décor : Construction François Gauthier-Lafaye et Flavien Renaudon / Peinture Pierre-Guilhem Coste - Régie générale et régie lumière : Philippe Hariga - Régie son : Vincent Petruzzellis - Assistante décor, mise en scène, marionnette : Cerise Guyon

Crédit photo : Ivan Boccara

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Compagnie La Cavale - Julie Coutant et Eric Fessenmeyer

Danse contemporaine – 5 interprètes - à partir de 15 ans

Co-productions:Avant-scène cognac, Scène conventionnée danse (16) - Centre chorégraphique national de La rochelle, Kader atou (17) au titre de l’accueil studio 2015 - Centre chorégraphique national d’orléans, Josef nadj (45) au titre de l’accueil studio 2016 - TPE de Bezons (95), Scène conventionnée dans le cadre de la permanence artistique Région Ile de France,THV Saint Barthélémy d’Anjou (49). Création nov 2016 à Cognac

La Cavale souhaite constituer un chœur contemporain en inventant une tribu d’aujourd’hui, ses traditions, ses rites de passage. De(s) personne(s) rassemble cinq individus dans un espace vibratoire où l’on assiste à l’incidence du moindre geste. Portés par une pulsation commune, les interprètes font résonner les rapports subtils et musicaux de leurs danses singulières. Les corps s’appréhendent, s'engagent, dissonent et s'emportent… Des rôles s’installent, des affinités se créent, provocant des rencontres insoupçonnées et annonçant les prémices identitaires d’un groupe. De(s) Personne(s) est la genèse d'une tribu inédite, non référencée, dont toute l’humanité réside dans la mélodie des rapports. Le processus de cette nouvelle pièce invite à réinvestir l’innocence, tâche qui implique une nécessaire modification du regard des interprètes sur eux-mêmes, sur la danse et l’écriture chorégraphique. A l’heure où le vedettariat et le culte de la personnalité sont exacerbés, la compagnie La Cavale mène une nouvelle recherche chorégraphique questionnant la personnalité. Si elle est propre à chacun, La personnalité est aussi un mouvement en création constante. Le groupe n’est-il pas le vecteur par lequel l’individu modèle sa personnalité et révèle ses singularités ?Une détermination sera nécessaire à chaque interprète pour révéler ses singularités en incarnant ses danses intimes inexplorées pour soi et insoupçonnées pour autrui.

Tarif : de 3.50€ à 13€

Crédit photo : Xavier Bourdereau

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Danse contemporaine et musique – 2 interprètes et un musicien – à partir de 15 ans

Création 2011

Avec le soutien de : du Ministère de la Culture et de la Communication (DRAC Bretagne), de la Région Bretagne, de la Ville de Rennes, de l’Adami, de la Spedidam et de l’Arcadi
Poetry est l'une des plus belles étapes dans son parcours. De Trash Tv Transe, composition de Fausto Romitelli pour guitare électrique, à la création live de Tom Pauwels, ce spectacle est gorgé de sons et de sens, et défend une danse fusionnelle où les corps semblent les caisses de résonnance de la musique. Avec poetry, il ne s'agit pas de "traduire physiquement tout ce que l'on entend" mais plutôt de ciseler des écarts, des rythmes : laisser glisser musique et mouvement côte à côte, à la manière d'un paysage, jusqu'à former un territoire mouvant pour l'écoute. Pour enserrer les corps dans une toile vibratoire, le musicien Tom Pauwels s'est saisi de cette partition saturée, redoublant ses boucles, étirant sa matière tourmentée. tel un burin la guitare creuse l'espace scénique, l'élargit, transmet aux interprètes un courant continu qui les anime. Maud le Pladec et Julien Gallée-Férré donnent à l'ensemble une poésie singulière, qui permet à chacun de rentrer dans cet échange. Duo ou duel la créatrice a choisi de ne pas choisir

Tarif : de 3.50€ à 13€

Crédit photo : Caroline Ablain

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Association ONNO - Compagnie Herman Diephuis

Six célibataires, trois couples,autant de possibilités de faire et défaire cette joyeuse bande qui s’apprête à vivre le temps d’une heure le condensé d’une longue soirée effrénée. Chacun s’identifiera dans la figure enthousiaste d’un danseur et se remémorera des fiestas grisées en appartement aux nuits enflammées passées sur des pistes de danse de night clubs bondés.

Le plaisir de danser, du coucher au lever du soleil, danser pour danser, danser pour oublier, danser pour la communauté, danser pour se sentir vivant, jusqu’à en perdre haleine. « On danse le plus souvent pour être ensemble. On se met à plusieurs. Les corps s’approchent les uns des autres, vont et viennent sans ordre préétabli mais avec la même obstination dans le tour et le retour. Ils se frôlent, se frottent, se désirent, s’amusent, se déchaînent. C’est une fête. » écrit Didi Huberman¹. CLAN est bel et bien une fête,
aussi bien pour les danseurs qui s’épuisent avec fougue dans le plaisir de danser, que pour le spectateur quasi ébahi par cette courte bringue exaltante.Herman Diephuis célèbre à sa façon la force du groupe qui fait corps, happé dans une même énergie, mais sait aussi laisser la place à la singularité de chacun. Il veut aussi mettre en avant la beauté éphémère d'une aventure commune et festive qui voudrait virer éternelle. CLAN, c’est cette petite tribu, ce groupe d’amis qui s’apprête pour une fête. De leurs préparatifs jusqu’à la transe, Herman Diephuis a imaginé un dance floor condensant jerk, danse de salon, farandole, soul train, madison, courses effré- nées. Si l’on ressent, en arrière-plan, les grondements du monde, il s’agira de danser, encore et encore, dans un mouvement collectif nécessaire et urgent.

Crédit photo : Marc Domage

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Danse et chant par l'Association ONNO - Pour tous dès 7 ans.

Même pas peur !

Bang ! Un titre qui claque, comme une explosion... Aux Pays-Bas, d'où est originaire le chorégraphe Herman Diephuis, le mot traduit l'état de peur, sur laquelle repose ce duo entre une danseuse et une chanteuse. La peur, recherche de sensations fortes, pour le plaisir, comme un jeu, la peur redoutée, qui excite, qui sidère. La peur sous toutes ses facettes, sa physicalité, sa sonorité et ce qu’elle convoque dans notre imaginaire collectif et individuel. Mais, plutôt que d’y rester enfermée, la pièce explore aussi comment en sortir : par le burlesque et le rire, qui éclate soudain en contrepoint ; par la complicité et le rapprochement quand l’autre cesse d’être celui qui inquiète.

Il ne s'agit ni d'un spectacle de danse, ni de chant, ni de théâtre, mais un peu de tout ça à la fois. Car Bang ! est avant tout une machine chorégraphique à conjurer la peur, à l’expulser, collectivement. On crie, on rit, on joue à se faire peur, on danse avec les artistes !

Conception et chorégraphie : Herman Diephuis - En collaboration avec et interprété par : Mélanie Giffard et Dalila Khatir - Lumière : Sam Mary

Crédit photo : Claudio Rey

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Danse et chant par l'Association ONNO - Pour tous dès 7 ans.

Même pas peur !

Bang ! Un titre qui claque, comme une explosion... Aux Pays-Bas, d'où est originaire le chorégraphe Herman Diephuis, le mot traduit l'état de peur, sur laquelle repose ce duo entre une danseuse et une chanteuse. La peur, recherche de sensations fortes, pour le plaisir, comme un jeu, la peur redoutée, qui excite, qui sidère. La peur sous toutes ses facettes, sa physicalité, sa sonorité et ce qu’elle convoque dans notre imaginaire collectif et individuel. Mais, plutôt que d’y rester enfermée, la pièce explore aussi comment en sortir : par le burlesque et le rire, qui éclate soudain en contrepoint ; par la complicité et le rapprochement quand l’autre cesse d’être celui qui inquiète.

Il ne s'agit ni d'un spectacle de danse, ni de chant, ni de théâtre, mais un peu de tout ça à la fois. Car Bang ! est avant tout une machine chorégraphique à conjurer la peur, à l’expulser, collectivement. On crie, on rit, on joue à se faire peur, on danse avec les artistes !

Conception et chorégraphie : Herman Diephuis - En collaboration avec et interprété par : Mélanie Giffard et Dalila Khatir - Lumière : Sam Mary

Crédit photo : Claudio Rey

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Un opéra de trois soues par la Compagnie Eclats

« Groïnk.

C’est Nif Naf et Nouf accrochés à leur maman Rosetta !
Trois petits dodus. Pas toqués bien vivants. Tout roses et tout ronds. Tout moelleux.
Tout le temps ils courent. Partout ils jouent. Tout joufflus charnus. Oouh ! On en mangerait.
Surtout prenez bien garde au grand méchant Jack.
L’grand méchant loup ! »

Groink, opéra de trois soues, respecte la dramaturgie du conte traditionnel Les Trois petits cochons que la musique de Camille Rocailleux et les mots de Philippe Gauthier actualisent. Dans cette œuvre joyeuse il est question d’enfance, de jeu, de fraternité, de séparation, de peur et de dévoration, de construction et surtout de grandir. Un spectacle tout en rythme où la percussion, la voix, les corps sont indissociables d’une écriture pleine de couleurs et de clins d’œil. Sur scène tout est prétexte à musique, et surtout aux percussions : le décor, les matériaux de construction des trois maisons, les instruments, les corps... tout sonne et résonne.

Avec Les petits cochons : Nif/Sven Clerx (percussions et ukulélé), Naf/Jérémie Abt (percussions et mélodica), Nouf/Théo Mérigeau (percussions et trompette), Rosetta, la mère des petits cochons et Jack, le loup/Romie Estèves (chant lyrique, mezzo soprano)
Direction, mise en scène : Stéphane Guignard - Composition musicale : Camille Rocailleux - Texte : Philippe Gauthier - Scénographie : Philippe Casaban et Éric Charbeau - Lumières : Éric Blosse - Costumes : Hervé Poeydomenge - Collaboration artistique : Sophie Grelié - Régie lumière : Eric Blosse ou Véronique Bridier - Régie son : Fabrice Lefèvre ou Benoît Lepage

Crédit photo : Pierre Planchenault

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Spectacle crée dans le cadre des scènes détournées de la MCA de Bourges.

Interprétation et composition : Juliette Roudet, Malik Djoudi, Gwenaël Drapeau, Julien Lepreux, Denis Robert.

Mise en partition : Gwenaël Drapeau

Compagnie Dernière Minute - Chorégraphie et conception : Pierre Rigal et les musiciens de Micro réalité

Les artistes seront accompagnés sur scène par des choristes amateurs. Les gens inondent le plateau... Des micros s'échangent et chacun essaie de raconter quelque chose. Certains évoquent des scènes de la vie quotidienne, d'autres ses souvenirs, ses émotions, parfois des banalités… la parole se libère.

Avec le groupe Micro-Réalité, c'est une plongée dans la musique rock et actuelle ! De la pop, de la variété, du rock et un peu d'électro se mêleront pour constituer une prestation décapante. Un concert comme une conversation partagée, où les paroles sont mise en boucle pour former une petite musique avant que les instruments ne prennent le dessus. Au travail musical s'ajoutera celui des corps, ce sera un concert en mouvement, mouvant, en mot... une aventure collective et ludique !

Tarif : de 3.50€ à 13€

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20e édition de la Fête des plantes et du jardin de Poitiers.

"Racines et tubercules"

Balade commentée au parc du Deffend, réalisation d'une soupe collective, concours de soupes, apéritif/dégustation d'automne, animations, ateliers, causeries, exposants professionnels et associatifs.

Sur place boissons et restauration rapide !

Entrée libre

Les petits devant les grands derrière

Cirque aérien chorégraphique en duo.

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