Jazz à Poitiers

Jazz à Poitiers

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Jazz à Poitiers c'est ...

• une trentaine de concerts par an, d’octobre à juin, principalement au Carré Bleu (mais pas que !)

• des accueils en résidence de travail et/ou d’enregistrement

• des actions de médiation pour favoriser la rencontre du public avec les musiques que nous défendons

• un travail de terrain régional pour l’accompagnement des musiciens et structures demandeurs de conseils en tout genre (plate-forme MIR)

• et depuis 2010, un festival : Bruisme

 

Jazz à Poitiers. Jazz donc, mais pas que. Ou en tout cas dans ses formes les plus contemporaines. Ce qui s’invente aujourd’hui dans le champ jazzistique et ses nombreux affluents. Mais aussi, et surtout, musiques improvisées. Et toutes les esthétiques connexes qu’une telle pratique peut irriguer. Free, noise, contemporain, rock, électro... Et au-delà des étiquettes, la volonté depuis 1997 de présenter au public des artistes et des pratiques trop souvent boudés par les médias.

 

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Fêtez Utile Fish From Hell
03 Fév

Fêtez Utile Fish From Hell

Fêtez Utile !
C’est ce que vous proposent le Confort Moderne, la Fanzinothèque et Jazz à Poitiers avec cette soirée musicale détonante au profit de la Ligue contre le cancer 86. Une programmation fidèle à leurs esthétiques claires et obscures où même les enfants trouveront bonheur. En somme, de la musique et de la joie tout en soutenant une cause qui nous est chère. Indéniablement immanquable donc !

Programmation : La Croisière du Navigator (ciné-concert à partir de 5 ans) par Jérémy Baysse trio, Fish From Hell, Chassol, Ropoporose et Rubin Steiner

Pour parler de Fish From Hell, trio formé par Marc Démereau, Sébastien Bacquis et Fabien Duscombs, il va nous falloir faire preuve d'imagination. En effet ce trio d'improvisation s'est formé autour d'un spectacle Moby Dick Wanted, qui comme son nom l'indique s'attache au célèbre cachalot blanc d'Herman Melville. Il ne sera pas question du « je préférerais ne pas » de Bartelby, mais bien d'imaginer les mouvements et les déplacements de Moby Dick et du Capitaine Achab.

On reconnaît dans Fish From Hell, des emprunts à la musique noise, au rock et au free jazz, mais indubitablement le trio nous plonge dans une approche imaginative d'un récit dont chacun-e peut s'emparer. Des sons acoustiques les plus ténus, aux déluges électroniques les plus dévastateurs, on perçoit aussi bien la menace du « monstre», que ses plongées abyssales ou sa sérénité toute aquatique. Il y a bien dans Fish From Hell, quelque chose du voyage, mais du voyage comme seule l'imagination peut nous en procurer.

Crédit photo : Johann Michalczak


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