La vaccination en pharmacie s’installe

Posté le - Actualités
<p>Dans le sport comme dans les collectivit&eacute;s, dans le monde &eacute;conomique comme dans le domaine culturel, les rapprochements entre des entit&eacute;s jadis concurrentes provoquent souvent des lev&eacute;es de boucliers. Chacun a sa culture, son histoire, son affect aussi, et ne veut pas les dissoudre dans une entit&eacute; plus grande et donc forc&eacute;ment plus impersonnelle. Le rapprochement entre le CHU de Poitiers et le v&eacute;n&eacute;rable h&ocirc;pital Camille-Gu&eacute;rin n&rsquo;est donc pas all&eacute; de soi en 2021, m&ecirc;me si l&rsquo;asphyxie financi&egrave;re du second a pr&eacute;cipit&eacute; ce mariage de raison et que les bans ont &eacute;t&eacute; publi&eacute;s bien trois ans avant. Qui pour s&rsquo;en offusquer aujourd&rsquo;hui ? Plus grand-monde, et d&rsquo;abord parce que le CHU a proc&eacute;d&eacute; &agrave; de gros investissements mat&eacute;riels, sa marque de fabrique depuis l&rsquo;&egrave;re Jean-Pierre Dewitte. Alors, oui, tout n&rsquo;est pas parfait, en particulier parce que le personnel soignant se rar&eacute;fie ou choisit des destinations plus attractives que la Vienne. Mais l&rsquo;offre de soins dans le Ch&acirc;telleraudais s&rsquo;est &eacute;toff&eacute;e, incontestablement. La preuve que la centralit&eacute; n&rsquo;est pas toujours l&rsquo;ennemie de la proximit&eacute;.</p> Plus d'informations : http://www.7apoitiers.fr/article/23416-l...
0

0

commentaires