Jazz à Poitiers

Jazz à Poitiers

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Jazz à Poitiers c'est ...

• une trentaine de concerts par an, d’octobre à juin, principalement au Carré Bleu (mais pas que !)

• des accueils en résidence de travail et/ou d’enregistrement

• des actions de médiation pour favoriser la rencontre du public avec les musiques que nous défendons

• un travail de terrain régional pour l’accompagnement des musiciens et structures demandeurs de conseils en tout genre (plate-forme MIR)

• et depuis 2010, un festival : Bruisme

 

Jazz à Poitiers. Jazz donc, mais pas que. Ou en tout cas dans ses formes les plus contemporaines. Ce qui s’invente aujourd’hui dans le champ jazzistique et ses nombreux affluents. Mais aussi, et surtout, musiques improvisées. Et toutes les esthétiques connexes qu’une telle pratique peut irriguer. Free, noise, contemporain, rock, électro... Et au-delà des étiquettes, la volonté depuis 1997 de présenter au public des artistes et des pratiques trop souvent boudés par les médias.

 

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Nelly Mousset solo + Duo Bergerault/Battus
30 Nov

Nelly Mousset solo + Duo Bergerault/Battus

Nelly Mousset solo

Nelly Mousset aime tout ce qui grogne, frotte, crie et tiraille et trouve ses champs d’expression dans la musique contemporaine et improvisée. C’est la contrebasse qui l’accompagne autant que la voix dans ce rapport plastique et vibratoire au son, au corps, au geste musical.
Au sein du Lobe, avec le collectif poitevin Z.A.P, aux côtés de Ninh Le Quan et Martine Altenburger pour des ateliers pédagogiques ou depuis peu en solo, elle mûrit au fil des rencontres un univers sonore bien à elle, surprenant de maturité quand on sait qu’elle ne travaille la contrebasse que depuis moins d’une dizaine d’années.


Duo Bergerault / Battus

C’est le chant qu’ils ont en commun. Une mélodie sans air qui de part et d’autre s’inverse ou se juxtapose. Un rubato qui n’aurait gardé de son lyrisme que le goût des fils de sons enrayés, cinglants et granuleux.
Et si les surfaces vibrantes du dispositif de Pascal Battus, formé de plateaux et de moteurs qui tournent, réagissent à la matière qui leur est appliquée en créant un son tel un résonateur, la voix est elle aussi générée par une surface vibrante – les cordes vocales - qui réagit en fonction de l’espace, du tissu et du corps qui habite cette membrane-voix et qui sert lui-même de haut-parleur. Une similitude troublante dans le processus et une musique qui s’écrit comme un chant polyphonique auquel s’ajouterait l’accordéon, en contrepoint.

Crédit photo : Mélanie Jolly


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