Le 7

Relayant un message du ministère de la Santé, le CHU de Poitiers met en garde les familles qui sont passées par la maternité entre mars 2022 et l’été 2023. Un kit des 1 000 premiers jours leur a été distribué contenant, outre un carnet de bienvenue dans la parentalité, un bavoir, un savon, une crème hydratante, un album jeunesse, un sac et une turbulette. C’est précisément cet objet qui pose problème. « Le ministère nous a alertés à propos d'un défaut de fabrication portant sur quelques lots. Le bouton pression présente un risque de détachement. Aucun évènement grave n'a été signalé », indique cependant l’établissement. Par mesure de prudence, il est conseillé de ne plus utiliser la turbulette, de la détruire et, le cas échéant, de prévenir les éventuels nouveaux propriétaires en cas de don ou de vente. 

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Heureux événement à la Vallée des singes, à Romagne, où Mika, une atèle à ventre blanc (Ateles hybridus) de 29 ans a donné naissance le 5 avril dernier à des jumeaux. « La longévité, chez cette espèce, est de 35 à 40 ans. Elle a déjà eu d’autres petits et, fait exceptionnel, elle avait déjà donné naissance à des jumeaux vingt ans auparavant », explique le parc animalier dans le « faire-part » de naissance.
Chaque année, la Vallée des singes enregistre plus d’une trentaine de naissances, mais certaines sont particulièrement exceptionnelles et nécessaires pour la sauvegarde de l’espèce. En l’occurrence, l’atèle blanc fait partie des vingt-cinq espèces de primates les plus menacées dans le monde.

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<p>Leur place ne cesse de cro&icirc;tre dans le processus de recrutement. En 2013, selon une &eacute;tude de l&rsquo;Insee sur l&rsquo;usage des m&eacute;dias sociaux pour le march&eacute; de l&rsquo;emploi, 8% des soci&eacute;t&eacute;s de dix personnes ou plus les utilisaient dans leur processus de recrutement et 30% des demandeurs d&rsquo;emploi les mobilisaient pour leurs recherches. Dix ans plus tard, 64% des recruteurs font appel au minimum &agrave; deux r&eacute;seaux, LinkedIn en t&ecirc;te (94%), suivi par Facebook (66%), Twitter (52%) et quelques autres comme Indeed, Welcome to the Jungle&hellip; De l&rsquo;autre c&ocirc;t&eacute; de l&rsquo;&eacute;cran, les demandeurs d&rsquo;emploi ne sont pas en reste : 
82% utilisent un r&eacute;seau social pour trouver un emploi. Mais pas n&eacute;cessairement de mani&egrave;re pro-active&hellip; <em>&laquo; Les candidats sont de plus en plus passifs. Aujourd&rsquo;hui c&rsquo;est aux recruteurs d&rsquo;aller les chercher &raquo;</em>, constate Karine Billaud. Encore faut-il y mettre la forme et les bons arguments car <em>&laquo; les candidats sont sur-contact&eacute;s,</em> poursuit la g&eacute;rante de Kaphisto RH, &agrave; Poitiers. <em>Ils n&rsquo;ont pas envie de recevoir un &eacute;ni&egrave;me mail avec le m&ecirc;me contenu. &raquo;</em></p> <p>La quatri&egrave;me &eacute;dition de Social Selling Forum, qui se tiendra cette ann&eacute;e &agrave; l&rsquo;ISME de Chasseneuil-du-Poitou le 14 juin, devrait permettre aux recruteurs -et &agrave; toutes les personnes int&eacute;ress&eacute;es- de trouver des r&eacute;ponses sur la fa&ccedil;on de bien exploiter ses r&eacute;seaux, construire son profil, choisir ses contenus, d&eacute;velopper sa marque employeur&hellip; <em>&laquo; On peut recruter en mod&egrave;le court -on d&eacute;pose une offre et on contacte directement les personnes- ou on peut choisir le mod&egrave;le long, qui repose sur une bonne repr&eacute;sentation de l&rsquo;entreprise &agrave; travers des informations sur les m&eacute;tiers qui la composent, son actualit&eacute;, les enjeux, sa marque employeur&hellip;</em>, d&eacute;taille Karine Billaud. <em>Mais quoi qu&rsquo;il en soit, il ne faut pas oublier que les r&eacute;seaux sociaux sont avant tout des r&eacute;seaux de personnes, que derri&egrave;re l&rsquo;outil il y a une page de profil personnelle. &raquo;</em></p> <h3><strong>Synergie</strong></h3> <p>M&ecirc;me d&eacute;mat&eacute;rialis&eacute;s, les r&eacute;seaux doivent &ecirc;tre incarn&eacute;s. Jean-Christian Rivet, le dirigeant de Jouez-Collectif, &agrave; Chasseneuil, parle d&rsquo;une <em>&laquo; synergie n&eacute;cessaire entre les r&eacute;seaux professionnels num&eacute;riques et physiques &raquo;. </em>Les deux font la paire. <em>&laquo; Dans un r&eacute;seau professionnel physique, si vous allez &agrave; un &eacute;v&eacute;nement, la premi&egrave;re fois on vous d&eacute;couvre, la deuxi&egrave;me on vous conna&icirc;t, la troisi&egrave;me on vous reconna&icirc;t et vous faites alors partie de l&rsquo;&eacute;cosyst&egrave;me. Puis le num&eacute;rique permet de garder le contact. De m&ecirc;me, il est difficile de cr&eacute;er de vraies relations uniquement via un r&eacute;seau num&eacute;rique. &raquo;</em> Les r&eacute;seaux ont &eacute;galement pour eux de permettre une interaction &laquo; en amont &raquo;, avant m&ecirc;me que l&rsquo;entreprise ait finaliser son besoin. Simplement, <em>&laquo; il faut faire en sorte d&rsquo;&ecirc;tre la premi&egrave;re personne qui vient &agrave; l&rsquo;esprit d&rsquo;un recruteur quand il pense &agrave; votre m&eacute;tier.</em> &raquo; Comment ? <em>&laquo; C&rsquo;est la qualit&eacute; des relations qui fait la diff&eacute;rence. &raquo;</em></p> Plus d'informations : http://www.7apoitiers.fr/article/23461-l...

<p>Selon une &eacute;tude r&eacute;cente de l&rsquo;Insee, en 2020, la Nouvelle-Aquitaine comptait 28 350 emplois li&eacute;s au sport, soit &agrave; peine 10% du total de l&rsquo;emploi. Clubs, associations et collectivit&eacute;s sont les trois principaux employeurs de profils tels que moniteurs, &eacute;ducateurs, entra&icirc;neurs, gestionnaires d&rsquo;&eacute;quipements sportifs... Dans la Vienne, le Comit&eacute; d&eacute;partemental olympique et sportif (CDOS) g&egrave;re les fiches de paie pour quelque 330 salari&eacute;s employ&eacute;s par des clubs. &laquo; Nous les aidons &agrave; structurer leur approche, pr&eacute;cise S&eacute;bastien Chauvet, directeur. <em>Et autant avant, il existait une certaine pr&eacute;carit&eacute;, autant aujourd&rsquo;hui les clubs cherchent la p&eacute;rennit&eacute; avec leurs salari&eacute;s. Ce qui oblige &agrave; aller chercher des activit&eacute;s, des financements... &raquo;</em></p> <h3><strong>La bataille de la parit&eacute;</strong></h3> <p>En bon connaisseur du dossier, le directeur du CDOS note <em>&laquo; des cultures diff&eacute;rentes en fonction des sports &raquo;</em>. <em>&laquo; Par exemple, le judo est un employeur de longue date qui a compris l&rsquo;int&eacute;r&ecirc;t de la mutualisation des comp&eacute;tences. &raquo; </em>L&rsquo;attractivit&eacute; du sport ne se d&eacute;ment pas, en tout cas, m&ecirc;me si <em>&laquo; certains jeunes salari&eacute;s se rendent compte que leur activit&eacute; est difficilement compatible avec une vie de famille &raquo;</em>, 
avec des horaires d&eacute;cal&eacute;s, du travail le week-end... Reste &agrave; gagner la bataille de la parit&eacute;. D&rsquo;apr&egrave;s l&rsquo;Insee, les femmes ne repr&eacute;sentent encore que 39% des effectifs. Seuls les m&eacute;tiers de l&rsquo;enseignement des disciplines sportives sont &agrave; parit&eacute;. 
<em>&laquo; La formation activit&eacute; physique pour tous attire autant de gar&ccedil;ons que de jeunes filles. En revanche, le Dipl&ocirc;me d&rsquo;Etat de cyclisme reste tr&egrave;s masculin &raquo;</em>, note Manuel Mandine, responsable du d&eacute;partement de la formation professionnelle au Creps de Poitiers. 
</p> <h3><strong>Pas de d&eacute;saffection</strong></h3> <p>Le Creps est l&rsquo;un des gros pourvoyeurs d&rsquo;emplois sportifs dans le d&eacute;partement. La structure propose des formations dipl&ocirc;mantes de types Brevet professionnel -dont le fameux BPJEPS Activit&eacute;s physiques pour tous, Brevet d&rsquo;Etat et Dipl&ocirc;me d&rsquo;Etat. <em>&laquo; Il n&rsquo;y a pas de d&eacute;saffection, d&rsquo;autant que le sport doit prendre de plus en plus de place et nous avons des missions minist&eacute;rielles &agrave; remplir,</em> ajoute Manuel Mandine. <em>Au passage, on s&rsquo;attache beaucoup &agrave; mettre nos stagiaires en situation d&rsquo;animation face &agrave; des publics relevant d&rsquo;un handicap. &raquo; </em>Pas de d&eacute;saffection donc, malgr&eacute; des r&eacute;mun&eacute;rations plafonn&eacute;es, et m&ecirc;me quelques tensions sur la formation de ma&icirc;tres-nageurs 
sauveteurs, par exemple. Rien que le Futuroscope va en embaucher une cinquantaine cet &eacute;t&eacute; avec l&rsquo;ouverture de son Aquascope.</p> <p>&nbsp;</p> <div style="background:#eeeeee; border:1px solid #cccccc; padding:5px 10px"><strong>Une structuration plus forte&nbsp;</strong><br /> Un Grenelle de l&rsquo;emploi et des m&eacute;tiers du sport s&rsquo;est r&eacute;uni en juin 2023, &agrave; l&rsquo;initiative du gouvernement et des partenaires sociaux du monde sportif. L&rsquo;ambition commune consiste &agrave; cr&eacute;er 100 000 nouveaux emplois dans le secteur d&rsquo;ici 2027. Depuis un an, les acteurs travaillent &agrave; atteindre cet objectif autour de cinq axes. Le premier consiste &agrave; am&eacute;liorer la lisibilit&eacute; de l&rsquo;offre et des parcours de formation vers les m&eacute;tiers, avec la cr&eacute;ation d&rsquo;un r&eacute;f&eacute;rentiel commun des m&eacute;tiers, des comp&eacute;tences et des qualifications. Deuxi&egrave;me axe : le lancement d&rsquo;une plateforme des m&eacute;tiers du sport qui r&eacute;pertoriera &agrave; destination des employeurs, des professionnels ou des futurs candidats, l&rsquo;ensemble des m&eacute;tiers, formations et certifications ainsi que tous les dispositifs de soutien &agrave; l&rsquo;emploi sportif. Le d&eacute;veloppement de la qualit&eacute; de l&rsquo;emploi sportif et l&rsquo;attractivit&eacute; des m&eacute;tiers du sport est &eacute;galement &agrave; l&rsquo;ordre du jour. L&rsquo;Institut national de la jeunesse et de l&rsquo;&eacute;ducation populaire (Injep) doit mettre au point un barom&egrave;tre des emplois dans le sport. Enfin, l&rsquo;ultime dessein consiste &agrave; assurer une meilleure reconnaissance des comp&eacute;tences des salari&eacute;s, notamment via la valorisation des acquis de l&rsquo;exp&eacute;rience. A signaler que l&rsquo;Observatoire national du sport a &eacute;t&eacute; install&eacute; le 13 mars 2024 par la ministre Am&eacute;lie Oud&eacute;a-Cast&eacute;ra.</div> Plus d'informations : http://www.7apoitiers.fr/article/23458-l...

Le Poitiers Basket 86 a officialisé aujourd'hui la présentation de Mohamed Diawara à la draft NBA 2024, qui se déroulera fin juin à New York. Le jeune ailier prêté par le Paris Basket, âgé d'à peine 19 ans (il les aura le 29 avril), réalise une saison convaincante sous le maillot poitevin avec 9,2pts, 2,8rbds et 1,2pd par match en moyenne. Suffisant pour attirer les regards des recruteurs des équipes NBA ? L'avenir le dira. Quoi qu'il en soit, Diawara aura la possibilité de retirer son nom de l'édition 2024 des jeunes joueurs US et mondiaux -60 sont retenus, 30 au premier tour, autant au deuxième- avant l'événement et pourra se représenter en 2025, 2026 et même 2027. Avec une saison de Pro B supplémentaire au PB86 pour s'affirmer un peu plus ? Là aussi, l'avenir le dira mais les dirigeants et le staff du club ne seraient pas mécontents de le conserver... 
 

Mohamed Diawara se présente pour la ???????????????????? ???????????? ???????????????? ????

Good luck Mo’ ????☘️ https://t.co/CqZNt8pO3A">pic.twitter.com/CqZNt8pO3A

— Poitiers Basket 86 (@pb86officiel) https://twitter.com/pb86officiel/status/...">April 23, 2024

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