La vaccination en pharmacie s’installe
<p>Pour l’heure, Qima Life Sciences n’est que le deuxième plus gros employeur de Gençay avec ses 50 salariés. Mais l’ex-Bio Alternatives, rachetée en 2018 par un groupe mondial, devrait vite détrôner Intermarché et sa soixantaine de collaborateurs ! Ses dirigeants ont inauguré la semaine dernière une extension de 300m2 (1 100m<sup>2</sup> au total), fruit d’un investissement de 1M€. C’est dire s’ils croient dans le potentiel du site gencéen, dont la renommée n’est plus à faire en matière de recherche sous contrat pré-clinique pour les industriels de la cosmétique, de la dermatologie et de la phamaceutique. <em>« On se différencie par la qualité de nos services »</em>,
assure Benjamin Wilner, directeur de l’activité sciences du vivant chez Qima.</p>
<p>Avec ses unités de Labège, Lyon et Münster, en Allemagne acquises entre 2018 et 2023, la division sciences du vivant du géant Qima (150 salariés sur
5 500 dans le monde) est celle dont les promesses de développement sont parmi les plus réjouissantes. Du reste, <em>« notre stratégie consiste à trouver de nouvelles niches en permanence »</em>. Et à Gençay, l’investissement dans des équipements de pointe doit servir ces desseins. Comme cette plateforme de bio-impression de la marque Poieitis, capable de créer, entre autres, de nouveaux modèles de peau. <em>« Faire pousser des cheveux ici, c’est mon rêve ! Avec de nouvelles capacités de développement en microbiologie et virologie, nous complétons notre offre de solutions »</em>, abonde Nicolas Amalric, directeur général de Qima Life Sciences.</p>
<h3><strong>1M€ de R&D par an</strong></h3>
<p>Sur son site du Sud-Vienne, Qima a déjà créé 12 emplois pérennes depuis six ans et fait croître le chiffre d’affaires. La division sciences du vivant pèse aujourd’hui 23M€ contre 5 en 2018, avec un investissement annuel de 1M€ dans la R&D. Un investissement matériel certes, mais aussi humain.<em> « Nous arrivons à attirer les talents</em>
(34 doctorants actuellement, ndlr)<em> grâce à nos projets »</em>, reconnaît Nicolas Amalric. Et comme tout dirigeant avisé, il lorgne du côté de l’intelligence artificielle, notamment pour
<em>« l’interprétation des résultats d’études envoyés à [leurs] clients »</em>. Sur un marché assez concurrentiel, où SGS et Eurofins pèsent lourd, Qima Life Sciences peut s’appuyer sur un groupe très puissant. Né en 2005, Qima a bâti sa réputation dans le contrôle qualité des produits de grande consommation (textiles, jouets, meubles...) et l’alimentaire, dont il est leader mondial. <em>« On vend de la confiance à nos clients, c’est notre business »</em>,
insiste Sébastien Breteau, fondateur et PDG du groupe. Un business qu’il applique aujourd’hui aux sciences du vivant. Intermarché peut trembler !</p> Plus d'informations : http://www.7apoitiers.fr/article/23492-l...
Une jeune femme décède sur la RD910
Un nouveau drame de la route est survenu ce mercredi en début d'après-midi sur la RD910 à la sortie de Naintré au niveau de l'aire de repos de Beaumont-Saint-Cyr. Selon nos confrères de La Nouvelle République-Centre Presse, une jeune femme de 21 ans a perdu le contrôle de son véhicule alors qu'elle se rendait à son travail dans un Ehpad de Châtellerault. En dépit de l'intervention rapide des secours, la victime, dont la voiture a fait plusieurs tonneaux, n'a pas survécu.
Plus d'informations : https://www.le7.info/article/23509-u...commentaires
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La vaccination en pharmacie s’installe
<p>Son allure est digne d'un serpent, ses mouvements ressemblent à ceux du serpent, mais il s'agit en réalité d'un... robot. Début avril, des chercheurs poitevins de l'équipe Co-biotique, bio-ingénierie et robotique pour l'assistance (CoBRA, la bien nommée) ont mis à l'eau pour la première fois un prototype de robot-serpent dans un bassin aménagé de la Technopole du Futuroscope. Le résultat est bluffant. <em>« C'est le premier robot au monde sans articulation rigide, ce qui lui permet d'effectuer des ondulations fluides</em>, souligne le
P<sup>r </sup>Med Amine Laribi, responsable de l'équipe rattachée à l'Institut Prime. <em>Batterie, moteurs et électronique sont embarqués à l'intérieur, il peut nager en toute autonomie. L'étanchéité est donc aussi un sacré challenge. »</em></p>
<p>Pour parvenir à de telles similitudes, les roboticiens se sont inspirés de véritables couleuvres et vipères étudiées par le Centre d'études biologiques de Chizé (Deux-Sèvres). Avec l'aide de l'herpétologue Xavier Bonnet, ils ont équipé les reptiles de marqueurs sur tout le corps. Puis avec des caméras ultra-sensibles, les scientifiques ont capté les images de leurs mouvements pour mieux les modéliser (retrouvez notre vidéo sur le7.info). Souvenez-vous ! Par le passé, les gestes sportifs des basketteurs du PB86 ou encore du patineur Brian Joubert avaient déjà été décryptés de la sorte. <em>« Nous comparons en ce moment les mouvements du robot et du vrai serpent, les premiers résultats sont plutôt favorables. »</em></p>
<h3><strong>Vers un nouveau mode de propulsion</strong></h3>
<p>Ces travaux financés par l'Agence nationale de la recherche sont portés par plusieurs doctorants dont l'un, Elie Gautreau, est directement rattaché à l'équipe CoBRA. Autour d'eux, un consortium pluridisciplinaire d'experts en biologie, physique, mécanique des fluides et robotiques planche sur la question<sup>(*)</sup>. La vocation de ces investigations est d'abord d'alimenter la recherche fondamentale. <em>« On veut comprendre comment le serpent parvient à se déplacer avec une telle efficacité hydrodynamique »</em>,
reprend le P<sup>r</sup> Laribi. Autrement dit, comment le reptile réussit à fendre l'eau en faisant fi des forces de résistance que tous les baigneurs connaissent bien. Les caractéristiques de la peau du reptile seront également étudiées. A plus long terme, des applications très concrètes pourraient bien sortir de ces observations. Et pourquoi pas un nouveau mode de propulsion plus économe en énergie pour les submersibles civils ou militaires ?
</p>
<p><em><sup>(*)</sup>Tous les détails sur
<a href="http://anr-dragon2.cnrs.fr">anr-...;.
</em></p> Plus d'informations : http://www.7apoitiers.fr/article/23495-l...
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La vaccination en pharmacie s’installe
<p>A votre avis, quel est le point commun entre le travail, le thon, l’asthme, le soleil, la liberté de la presse, Star Wars, l’hygiène des mains et le rire ? Eh bien, tous ces sujets font l’objet d’une journée mondiale du 1er au 7 mai. On aurait pu ajouter les pompiers (4 mai), les mères endeuillées (5 mai) ou encore le mot de passe (6 mai). Non, vous ne rêvez pas, il existe bien dans le calendrier une journée mondiale du mot de passe ! Prière de ne pas rire... Dans le cas contraire, vous aurez toute votre place dimanche à l’Espace Mérovée, à Saint-Georges-lès-Baillargeaux, où 150 personnes -au moins- vont s’esclaffer histoire de lâcher prise et de se faire du bien. Le rire a ses raisons que le corps ne peut ignorer. Se marrer, se bidonner, se gondoler, se poiler, ricaner, glousser... A chacun sa manière d’extérioriser. Et par les temps qui courent, reconnaissez que le rire constitue un sacré antidote à la morosité. Il y a tellement de raisons de désespérer dans l’actualité qu’un
« shoot » d’endorphines de dix minutes par jour ne peut pas nuire. Ah, au fait, la journée mondiale de la santé s’est déroulée le 7 avril...</p> Plus d'informations : http://www.7apoitiers.fr/article/23484-l...
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Vienne : un détenu maîtrisé par un tir de "bean bag"
Dimanche, un détenu du centre pénitentiaire de Vivonne est monté sur le toit du préau de la cour de promenade, après que l'administration a refusé sa demande de transfert. Il a d'abord repoussé les échelles mises en place pour redescende, avant d'être maîtrisé par les membres de l'Equipes régionale d'intervention grâce un pistolet « gomm-cogne », qui envoie des sacs de toile remplis de billes de plomb. "Ce dernier a ainsi pu être appréhendé, explique Cyril Lacombe, procureur de la République de Poitiers. Il présentait une plaie temporale et a été conduit au CHU de Poitiers. Il se trouve actuellement en observation et devrait réintégrer la détention sous 24h." Le procureur précise que "les premières investigations n'établissent pas que le détenu ait voulu s'évader". Le parquet de Poitiers a ouvert une enquête pour violences sur dépositaire de l'autorité publique.
Plus d'informations : https://www.le7.info/article/23483-v...commentaires
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