Une jeune femme décède sur la RD910

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Un nouveau drame de la route est survenu ce mercredi en début d'après-midi sur la RD910 à la sortie de Naintré au niveau de l'aire de repos de Beaumont-Saint-Cyr. Selon nos confrères de La Nouvelle République-Centre Presse, une jeune femme de 21 ans a perdu le contrôle de son véhicule alors qu'elle se rendait à son travail dans un Ehpad de Châtellerault. En dépit de l'intervention rapide des secours, la victime, dont la voiture a fait plusieurs tonneaux, n'a pas survécu. 

Plus d'informations : https://www.le7.info/article/23509-u...
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La vaccination en pharmacie s’installe

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<p>Son allure est digne d&#39;un serpent, ses mouvements ressemblent &agrave; ceux du serpent, mais il s&#39;agit en r&eacute;alit&eacute; d&#39;un... robot. D&eacute;but avril, des chercheurs poitevins de l&#39;&eacute;quipe Co-biotique, bio-ing&eacute;nierie et robotique pour l&#39;assistance (CoBRA, la bien nomm&eacute;e) ont mis &agrave; l&#39;eau pour la premi&egrave;re fois un prototype de robot-serpent dans un bassin am&eacute;nag&eacute; de la Technopole du Futuroscope. Le r&eacute;sultat est bluffant. <em>&laquo; C&#39;est le premier robot au monde sans articulation rigide, ce qui lui permet d&#39;effectuer des ondulations fluides</em>, souligne le 
P<sup>r </sup>Med Amine Laribi, responsable de l&#39;&eacute;quipe rattach&eacute;e &agrave; l&#39;Institut Prime. <em>Batterie, moteurs et &eacute;lectronique sont embarqu&eacute;s &agrave; l&#39;int&eacute;rieur, il peut nager en toute autonomie. L&#39;&eacute;tanch&eacute;it&eacute; est donc aussi un sacr&eacute; challenge. &raquo;</em></p> <p>Pour parvenir &agrave; de telles similitudes, les roboticiens se sont inspir&eacute;s de v&eacute;ritables couleuvres et vip&egrave;res &eacute;tudi&eacute;es par le Centre d&#39;&eacute;tudes biologiques de Chiz&eacute; (Deux-S&egrave;vres). Avec l&#39;aide de l&#39;herp&eacute;tologue Xavier Bonnet, ils ont &eacute;quip&eacute; les reptiles de marqueurs sur tout le corps. Puis avec des cam&eacute;ras ultra-sensibles, les scientifiques ont capt&eacute; les images de leurs mouvements pour mieux les mod&eacute;liser (retrouvez notre vid&eacute;o sur le7.info). Souvenez-vous ! Par le pass&eacute;, les gestes sportifs des basketteurs du PB86 ou encore du patineur Brian Joubert avaient d&eacute;j&agrave; &eacute;t&eacute; d&eacute;crypt&eacute;s de la sorte. <em>&laquo; Nous comparons en ce moment les mouvements du robot et du vrai serpent, les premiers r&eacute;sultats sont plut&ocirc;t favorables. &raquo;</em></p> <h3><strong>Vers un nouveau mode de propulsion</strong></h3> <p>Ces travaux financ&eacute;s par l&#39;Agence nationale de la recherche sont port&eacute;s par plusieurs doctorants dont l&#39;un, Elie Gautreau, est directement rattach&eacute; &agrave; l&#39;&eacute;quipe CoBRA. Autour d&#39;eux, un consortium pluridisciplinaire d&#39;experts en biologie, physique, m&eacute;canique des fluides et robotiques planche sur la question<sup>(*)</sup>. La vocation de ces investigations est d&#39;abord d&#39;alimenter la recherche fondamentale. <em>&laquo; On veut comprendre comment le serpent parvient &agrave; se d&eacute;placer avec une telle efficacit&eacute; hydrodynamique &raquo;</em>, 
reprend le P<sup>r</sup> Laribi. Autrement dit, comment le reptile r&eacute;ussit &agrave; fendre l&#39;eau en faisant fi des forces de r&eacute;sistance que tous les baigneurs connaissent bien. Les caract&eacute;ristiques de la peau du reptile seront &eacute;galement &eacute;tudi&eacute;es. A plus long terme, des applications tr&egrave;s concr&egrave;tes pourraient bien sortir de ces observations. Et pourquoi pas un nouveau mode de propulsion plus &eacute;conome en &eacute;nergie pour les submersibles civils ou militaires ?
</p> <p><em><sup>(*)</sup>Tous les d&eacute;tails sur 
<a href="http://anr-dragon2.cnrs.fr">anr-...;. 
</em></p> Plus d'informations : http://www.7apoitiers.fr/article/23495-l...
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La vaccination en pharmacie s’installe

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<p>A votre avis, quel est le point commun entre le travail, le thon, l&rsquo;asthme, le soleil, la libert&eacute; de la presse, Star Wars, l&rsquo;hygi&egrave;ne des mains et le rire ? Eh bien, tous ces sujets font l&rsquo;objet d&rsquo;une journ&eacute;e mondiale du 1er au 7 mai. On aurait pu ajouter les pompiers (4 mai), les m&egrave;res endeuill&eacute;es (5 mai) ou encore le mot de passe (6 mai). Non, vous ne r&ecirc;vez pas, il existe bien dans le calendrier une journ&eacute;e mondiale du mot de passe ! Pri&egrave;re de ne pas rire... Dans le cas contraire, vous aurez toute votre place dimanche &agrave; l&rsquo;Espace M&eacute;rov&eacute;e, &agrave; Saint-Georges-l&egrave;s-Baillargeaux, o&ugrave; 150 personnes -au moins- vont s&rsquo;esclaffer histoire de l&acirc;cher prise et de se faire du bien. Le rire a ses raisons que le corps ne peut ignorer. Se marrer, se bidonner, se gondoler, se poiler, ricaner, glousser... A chacun sa mani&egrave;re d&rsquo;ext&eacute;rioriser. Et par les temps qui courent, reconnaissez que le rire constitue un sacr&eacute; antidote &agrave; la morosit&eacute;. Il y a tellement de raisons de d&eacute;sesp&eacute;rer dans l&rsquo;actualit&eacute; qu&rsquo;un 
&laquo; shoot &raquo; d&rsquo;endorphines de dix minutes par jour ne peut pas nuire. Ah, au fait, la journ&eacute;e mondiale de la sant&eacute; s&rsquo;est d&eacute;roul&eacute;e le 7 avril...</p> Plus d'informations : http://www.7apoitiers.fr/article/23484-l...
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Vienne : un détenu maîtrisé par un tir de "bean bag"

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Dimanche, un détenu du centre pénitentiaire de Vivonne est monté sur le toit du préau de la cour de promenade, après que l'administration a refusé sa demande de transfert. Il a d'abord repoussé les échelles mises en place pour redescende, avant d'être maîtrisé par les membres de l'Equipes régionale d'intervention grâce un pistolet « gomm-cogne », qui envoie des sacs de toile remplis de billes de plomb. "Ce dernier a ainsi pu être appréhendé, explique Cyril Lacombe, procureur de la République de Poitiers. Il  présentait une plaie temporale et a été conduit au CHU de Poitiers. Il se trouve actuellement en observation et devrait réintégrer la détention sous 24h." Le procureur précise que "les premières investigations n'établissent pas que le détenu ait voulu s'évader". Le parquet de Poitiers a ouvert une enquête pour violences sur dépositaire de l'autorité publique.

Plus d'informations : https://www.le7.info/article/23483-v...
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<p>Ils ont vieilli bien sûr, au point d&rsquo;incarner désormais un couple de septuagénaires, mais le duo que forment Sabine Azéma et André Dussolier, inénarrables parents du&nbsp;Tanguy&nbsp;d&rsquo;Etienne Chatiliez, n&rsquo;a pas pris une ride. Dans le nouveau long-métrage d&rsquo;Ivan Calbérac,&nbsp;N&rsquo;avoue jamais,&nbsp;qui scelle leur onzième collaboration sur grand écran, les deux comédiens campent François et Annie, mariés, trois enfants, bientôt cinq petits-enfants, une vie réglée comme du papier à musique et régie par des valeurs militaires&nbsp;d&rsquo;un autre âge. Dans la famille Marsault, on est général de père en fils -enfin presque- et on est capable de chanter la Marseillaise revisitée à un anniversaire ! Autant dire que le mot prescription, même accolé à des faits remontant aux calendes grecques, ne saurait trouver grâce aux yeux de François. Alors quand il découvre qu&rsquo;Annie a eu une liaison adultérine quarante ans auparavant, le mari offensé ne pense plus qu&rsquo;à rétablir manu militari son honneur bafoué. Crime invoqué : la &laquo;<em> haute trahison</em> &raquo;, ni plus ni moins. Voilà donc le spectateur embarqué dans une mission punitive pleine d&rsquo;excès, abreuvé jusqu&rsquo;à l&rsquo;indigestion du vocabulaire martial et des métaphores guerrières du général en retraite. En face, Thierry Lhermitte, alias Boris, ressuscite en version grisonnante le Popeye des&nbsp;Bronzés&nbsp;de Patrice Leconte. La confrontation se révèle joyeuse, portée par une réalisation particulièrement sobre, un peu lente par moments, qui interroge sans en avoir l&rsquo;air ce qui fait le couple, les relations parents-enfants, la famille. On reconnaît&nbsp;derrière le réalisateur de cinéma l&rsquo;homme de théâtre, particulièrement soucieux des dialogues et tenté par une mise en scène très -trop ?- théâtralisée. Les acteurs sont impeccables avec, à côté du trio de septuagénaires, une mention spéciale à Joséphine de Meaux, émouvante Capucine.</p> <p>Comédie d&rsquo;Ivan Calbérac, avec André Dussolier, Sabine Azéma, Thierry Lhermitte (1h34)</p> Plus d'informations : http://www.7apoitiers.fr/article/23482-l...
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